Anh tôi, j'aurai toujours une pensée pour toi
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Bonsoir mes amis,
Il est temps que je m'en aille
Ce qui me reste à vous dire
Ne dure qu'une cigarette
Et le temps d'un dernier verre
Pour ce jour, cette nuit sous votre toit, merci
Pour la place à votre table et le vin dans mon verre
Pour le couvert de plus que vous mettez pour moi
Comme si rien au monde n'était plus normal
Pour ces heures passées à bavarder, merci
Pour votre patience quand nos avis étaient contraires
Pour n'avoir pas cherché à savoir d'où je venais
Ni pour où je pars, ni quand, ni pourquoi
Merci pour la bonté qui s'abrite chez vous
Derrière cette porte, que je dois franchir
Peut-être est-ce par elle qu'à travers vos carreaux
La lumière semble plus chaude qu'ailleurs
Auteur : Frederik Mey
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Dieu enlève un à un nos amis pour faire d'eux les étoiles de notre ciel.
Dieu a donné un nom au souvenir ; il l'a appelé espérance.
Toutes les souffrances peuvent s'oublier si la peine est partagée par des amis et que l'amitié la console.
Notre résurrection ne réside pas seulement dans le futur ; elle est aussi en nous et elle a déjà commencé.
L'amour est la seule chose qu'on emporte avec soi.
C'est parfois d'une situation désespérée que renaît l'espoir car dans l'homme jamais espérance n'est vaine.
Quand Dieu tourne une page, c'est qu'il s'apprête à en écrire une autre.
Si toute vie va inéluctablement vers la fin, il faut, tant qu'elle se déroule, la peindre d'amour et d'espoir.
L'épreuve du courage n'est pas de mourir, mais de vivre.
Le jardin de ce monde ne fleurit que pour un temps.
Celui qui cherche Dieu l'a déjà trouvé.
Intraitable, altière et nue, la vie exprime tout ce qu'elle a toujours signifié, bouleversant l'ordre établi et le désordre des apparences.
Il n'y a pas de fin, il n'y a pas de début, juste un amour infini de la vie.
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Le livre de la vie est le livre suprême qu’on ne peut ni fermer, ni l’ouvrir à son choix. On voudrait revenir à la page que l’on aime, et à la page du chagrin est déjà sous nos doigts.
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